Je partis d’Osgiliath, mais je vis un oiseau noir :
« Abattez-le !!!!! » dis-je.
« Abattre quoi ? » répondent les archers.
« L’oiseau ! » criais-je.
« Ok ! »
L’oiseau tomba en vrille, il y a un message :
Allez en Ithilien, en passant par la tombe de Faramir, un raid d’homme du Harad s’y trouve, tuez-les tous.
« Rectification nous allons en Ithilien, mais il faut passé par la tombe de Faramir d’abord »
« A vos ordre, mon roi ! »
Nous allions donc à la tombe de Faramir, où nous trouvions un message.
« Donne- le moi, soldat. »
« Tenez. Monseigneur. »
Je lisais le message :
Vous trouverez en Ithilien, 10 rangers qui vous attendront.
Nous allions en Ithilien. Mes hommes fatigués de grimper les grandes collines de l’Ithilien me supplièrent de faire une pause.
« Seigneur, faisons une pause par pitié. »
« Non ! Grimpons d’abord cette colline, ensuite nous installerons le camp »
« Alors je vois que vous n’avez pas l’habitude de grimper ces colline, mon roi »dis le lieutenant des rangers.
« Pff, lieutenant, je vous pendrez bien, si je n’avait pas besoin de vous ! » dis-je en riant.
Nous installions le campement, les dix rangers firent le guet.
Vers minuit, j’entendis des petits cris et des bruits de flèches.
Nous sortissions tous en même temps et virent une 15aine d’hommes morts.
« Que se passe t’il ? »
« DES HOMMES DU HARAD ABBATTEZ LES ! » crié-je.
Il resta 5 archers et mes hommes en abattirent deux.
Je courais vers les trois autres archers, la foret n’étant pas mon point fort, je trébucha a multiple reprise. Et on me tira une flèche dans le bras, Les épéistes avec épée à deux mains les tuèrent.
Je comptai les cadavres : 10 rôdeurs et dix archers du harad.
« Vite dépêchons de grimper cette colline. »
« Nous somme poursuivis par cinq épéiste. »
« C’est pour ça qu’il faut grimper la colline. »
« Pourquoi quoi ? »
« Il y a une multitude de rocher en haut de la falaise, faisons les tomber, pour leur bloquer le chemin jusqu’à la porte noire !!!! »
Pendant que nous grimpions, nous vîmes 4 haradrims armés de lance nous sauter dessus.
« Archers, tirez-leur des flèches pour les ralentir, ils sont trop rapide !!!!!!!!! »
Les archers, fatigués, tirèrent en touchant les 4 lanciers qui nous poursuivaient. Mais 5 moururent.
« Courons !!!! VITE ! »
« Archers continuez à tirer. »
Mes épéistes se sacrifièrent, quand nous avions réussi à pousser un énorme rocher, qui tomba sur 15 haradrims armé d’épées et sur tous mes hommes sauf 7 armés de boucliers.
Nous nous souvîmes que les haradrims se dirigé vers la porte noire pour rejoindre Sauron.
« Il faut que nous allons à la porte noire mais d’abords ramassons tous les corps et brûlons-les. »
Nous entassons en vaillant que tous les corps étaient bel et bien morts, et ils l’étaient sauf un.
« Dis moi ce que tu sais sinon nous te brûlerons vifs ! » crié je.
«A la porte noire. » Dis l’haradrim.
Je l’égorgeai d’un seul coup d’épée.
« Allons à la porte noire. »
J’allumai le feu et nous primes la route.
Nous arrivions à la porte noire, quand je vis une épée par terre, encore dans son fourreau, une épée elfique, c’était Andùril, la flamme de l’ouest, l’épée de mon père, non rouillé, pas une égratignure.
« Cachez-vous. » Dis-je à mes hommes.
16 haradrims marchait. Juste à nos pieds. Je sortis de ma cachette en ne faisant aucun signe à mes hommes. Mais ils se levèrent et crièrent : « Pour Eldarion »
« Par Elendil !!! »
Je fonçai sur eux mais un seul bougea, il fonça à son tour sur moi.
Les autres continuèrent à avancer.
Nos épées s’entrechoquent, je roula en arrière puis me releva pour porter un coup qui lui coupa les jambes, mais il rampa vers moi en disant : « Tue-moi, et tue les autres, j’ai était enlevé de ma famille et puis obligé de les tués, maintenant tue moi ! »
« Non je te tuerai pas. »
Il sortis une dague et la planta dans mon épaule gauche. Je l’éjecta et puis planta Andùril dans son front.
Mes hommes, blessé ont du fuir pour échappait aux haradrims.
Je monta en haut d’une falaise et leurs fis signe :
« Mourrai, espèce de merdiers !!!!! »
Je sauta de la falaise, et tomba sur 5 haradrims. Un fut transpercé par Andùril, deux furent écrasé puis égorgeai par le tranchant de mon armure, les deux autre furent mort.
3 foncèrent sur moi, j’en fis tombé un que je transperça a l’instant. Un m’attrapais les bras, pendant que l’autre me frappa mais un de mes hommes ayant repris des forces les tua tous les deux.
Les autres accélérèrent leurs marches, je lançai mon ancienne épée dans la tête d’un haradrim qui tomba au sol, je coura dans une grotte et mes hommes aussi, les haradrims avait remarqué que j’étais le roi du gondor, donc pour pouvoir avoir une prime de Sauron.
Dans la grotte, je vis deux araignées géantes, une me fonça dessus mais je lui coupa la moitié de son corps, l’autre m’enroula les jambes de toiles mais mes hommes la tuèrent. Nous avions réussi à sortir de la grotte remplie d’araignées. Je fis tombais 4 rochers de chaque coté de la grotte, il n’y eut plus aucune sortie et les cris remplacèrent la brise du vent. Il ne resta que moi et 7 gondoriens armé de boucliers.
FIN
Mer 26 Mai - 18:49
